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Ka-Core

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Ka-core

▪ Maryon, 22 ans, Nouméa, addictive aux dessins, passionnée de tatouages et de modifications corporelles, libraire en SF-Fantasy et Jeunesse Petite enfance.
Idolâtre les licornes!

▪ Blog personnel.
+ expositions de mes créations et de mes projets artistiques.
+ mes voyages, et beaucoup d'autres choses.

Bonne visite et à bientôt !

Création : 21/05/2010 à 05:35 Mise à jour : 12/04/2017 à 04:16

Ka-core

 

About me:
Maryon J. -  22 ans - Libraire - Nouvelle-Calédonie
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Ka-core
"Rouge, comme la couleur de ton c½ur, rouge comme le soleil aux aurores, rouge comme ma vie qui vaut de l'or. Cette vie je ne l'utiliserai que pour te protéger, ma reine de c½ur, tu le seras a jamais, ta douleur sous peu sera effacée. Telle Alice cherchant désespérément le lapin blanc, ou Peter Pan voulant rester un enfant, je serais la pour te guider dans tes rêves les plus grands. Telle Alice ton père est parti rejoindre les abysses, telle Peter, refusant de devenir plus grande. Tu te réfugies dans tes rêves d'enfants pour vivre au pays imaginaire. Je t'y emmènerais, je veux le faire.". Vivant comme tout autre être détruit ; monstrueusement vagabond, à la recherche du monde de Peter Pan. 
Tags : Ka-core
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#Posté le vendredi 21 mai 2010 23:26

Modifié le lundi 22 août 2016 03:19

Rendons d'abord l'atmosphère à la fois brumeuse et sèche, echevelée, où la cigarette est toujours posée de travers depuis que continûment elle la créee.

Et je marche aussi rapidement que je puisse pour échapper aux jours trop courts et aux nuits qui passent si vite. J'irai loin là-bas, m'offrir ce petit coin où je donnerai la chance non au hommes mais à la nature de tout reconstruire pour que je puisse enfin me sentir libre.

Rendons d'abord l'atmosphère à la fois brumeuse et sèche, echevelée, où la cigarette est toujours posée de travers depuis que continûment elle la créee.
 
[C'est abstrait.]
 
La pluie que je regarde me rappelle combien je ne suis pas très fière de moi et combien je ne suis pas totalement à mon aise. Certains me diront que tout n'est pas normal - qu'il cloche en moi un plus ou moins un petit ou grand problème et d'autres diront seulement "ne pleure pas". Mais je ne peux m'empêcher. En y repensant; le monde me donne à la fois une sensation de peur-panique absolument irritante et parfois tout juste un semblant de vide. Comme une chute implacable, autour de vous je me sens comme une gazelle cernée par de gigantesques lions et lionnes affamés. Il m'arrive, près de vous que des larmes légères relativement lentes se dresse sur mon visage effrayé par vos comportements mi-étrange et souvent irrespectueux de ce qui semble être hors de cette société dans laquelle de multiples êtres sont zombi-fiés. Sans vigueur comme une fraction intense, une poussée de météores se bouscule dans ma tête lorsque vous êtes si près. Le monde à changé - vous l'avez "niqué - nous l'avons tué! Ainsi que le ciel bleu et ses oiseaux. Agoraphobe, c'est sur; je le sais, comment et pourquoi. Personnel. Ce qui m'a pousser à me reculer loin de vous: qui en autre accepte si facilement le jeu de nos gouvernements, de ces Grands qui paraissent si petits à mes yeux. Tant de pitié et de colère, bien que gros comme un grain de blé - je m'oblige à m'évader de ce sentiment auquel je me sens confronté à chaque fois que je pose mon pied hors de mon cocon. Le monde est si différent; je vois les feuilles mortes et leurs essences se macérer au lieu de verdir nos forêts, comme toute décoiffée, la tête dans la brume je vois les montagnes désertées et, je vois le délice du vent se réchauffer, s'affaiblir . Le monde s'est arrêté, il ne tourne plus. Les dinosaures ont disparus d'une catastrophe naturelle et nous Homme cherchons notre propre disparition. Bravo! Mes idées, à ce jour ne sont plus que ruines à penser qu'on pourrait tout changer.
Tags : Emite; je suis?
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#Posté le dimanche 03 mars 2013 04:49

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:16

I will protect you. I swear It's true. I'am here for the best and the worst. Damned you've touch my heart. I will be your Peter.


I will protect you. I swear It's true. I'am here for the best and the worst. Damned you've touch my heart. I will be your Peter.

I will protect you. I swear It's true. I'am here for the best and the worst. Damned you've touch my heart. I will be your Peter.
 
 
Rouge, comme la couleur de ton c½ur, rouge comme le soleil aux aurores, rouge comme ma vie qui vaut de l'or. Cette vie je ne l'utiliserai que pour te protéger, ma reine de c½ur, tu le seras a jamais, ta douleur sous peu sera effacée. Telle Alice cherchant désespérément le lapin blanc, ou Peter Pan voulant rester un enfant, je serais la pour te guidez dans tes rêves les plus grands. Telle Alice ton père est parti rejoindre les abysses, telle Peter, refusant de devenir plus grande. Tu te réfugies dans tes rêves d'enfants pour vivre au pays imaginaire. Je t'y emmènerais, je veux le faire.
Tags : Beer again and again!
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#Posté le dimanche 14 août 2011 21:20

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:16

Seule contre moi

 
J'ai récupéré mon blog (y)
TEXTE A VENIR
Seule contre moiSeule contre moi
 Drawing - 
 PAS TOUCHE! PAS TOUCHE!
 
<-- Futur tattoo. 
 Pour le plaisir -->
 
 
 
 
 
D'AUTRE A VENIR
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#Posté le mercredi 03 juillet 2013 06:13

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:16

I don't have friends!

 
 Ame Sensible
 
 
I don't have friends!
 
Un vrai bazar, ma tête.
Mes yeux finiront bien par sécher, le cris de mes larmes finiront eux aussi à s'étouffer; pendant que mon mépris et ma colère s'achèveront. Ma rage finira par tomber. Comme une partie de moi absente, comme une petite perte; la route parfois si courte, parfois trop longue, où sans raison je continue. En allant de l'avant, je continue de croire problématiquement à un retour en arrière. Continuant de respirer sans souffler, épuisée par des épaules trop faibles, avec des jambes petites mais si lourdes. Continuant sans pour autant, à courir de plus en plus vite afin d'échapper au présent et de se cacher du futur. Le temps ne s'arrête jamais contrairement aux souvenirs qui restent marqués par un jour ou bien une heure, par un fait ou personne en particulier. D'une âme sensible, comme prisonnière d'un cauchemars, fermer les yeux pour mieux rêver, les ouvrir peu après pour ne voir que la réalité et se rendre à l'évidence du mal que ça nous fait. Comme une enfant cherchant à terre son ballon envolait dans les air. J'irai jusqu'à pleurer jours et nuits, et me plaindre toute ma vie, en essayant de comprendre sans déception; et si besoin j'écrirai encore mille fois la douleur qui me pèse pour cicatriser mes blessures du c½ur. 

 
Tags : Ecoute-moi
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#Posté le lundi 11 mars 2013 21:24

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:17

Les songes de la vie

Les songes de la vie

Abandonnée par les songes de la vie, allongée face contre terre, tel un enfant capricieux – juste en recherchant tout là-haut dans les profondeurs du ciel : un monde merveilleux. Regardant chaque nuages et étoiles, tel un paysage inachevé. L'esprit neutre dans un corps impur, se souciant de ces mains incapables de briser ce chagrin. Le c½ur léger d'un bonheur attendu, d'une lourde larme à peser les ennuies, de ce sang transparent traversant doucement les chemins qui mènent à ces battements rigoureux de la solitude. Peine au grand sourire, endormit sous un rire : éphémère. De cette froideur cacher par la chaleur d'une braise encore vaillante : combattant, encore et encore, à n'en plus finir cette tristesse constante ; dans les mémorables souvenirs enfouies. Toucher le fond, sans rien apercevoir ; parcourant le chemin sans fin de la gloire. Touchant du bout des doigts cette liqueur fraîche d'un matin d'automne, d'une feuille morte de cerisier en fleur. Lentement mais surement, s'asseoir et contempler, cet horizon auparavant étincelant. Attentive au chant du vent, sensible au silence d'un ruisseau maillant poissons et oiseaux. Créant instantanément, l'incertitude imparfaite, sombre et ténébreuse d'une ombre affaiblit par mille feux. Se relever avec humble harmonie, debout tête en l'air, contemplant la souplesse d'une boue amère. Y croire, sans pour autant y donner ; juste un faible espoir. Se réveiller et cauchemarder d'une banalité enfantine – faire un premier pas, puis s'arrêter. Petit doute. Méditer, halluciner, écrire dans ce fameux vide : tout le mal que l'on nous fait ; dessiner la vie qu'on aimerait. Se reprendre et faire un second pas : marcher vers l'inconnu, en se disant que juste après : on ne regrettera pas. Faner longuement près d'une fleur à peine fleurit, à la surface d'une hésitation ; un mot suffirait peut-être : perdue entre la réalité et l'irréel; ignorant l'existence d'une renaissance, soupçonnant la réincarnation du mal par le bien.  Vivant comme tout autre être détruit ; monstrueusement vagabond, à la recherche de Peter Pan!
Tags : Les songes de la vie
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#Posté le dimanche 12 décembre 2010 03:25

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:17

Le bonheur n'a point d'enseigne extérieure ; pour le connaître, il faudrait lire dans le coeur de l'homme heureux - Jean-Jacques Rousseau
 
_________________________________
Ambiguë jusqu'au fond des yeux, jouant la comédie, en trompant et en bourrant le crâne de dupes : mensonge et imposture ; docile charlatan, criant triomphe avec modestie. Abusant, bernant, bluffant, couillonnant, escroquant, enjôlant, trahissant, déjouant et frustrant chaque conquêtes ; tel un mythomane, hâbleur, insidieux et fallacieux qui se meurt au gré des fourberies, man½uvres, bobards, menteries et supercheries fraudeuses. Rêvant peut-être, quelquefois, d'un doux arôme vivant modeste, révérencieux et élémentaire, avec arrivisme, convoitise et prétention : d'une vie sans tromperie. Abstrait d'un renouvellement, ne chipant plus les corps et âmes de mots à maux amusement maladive, violente, scrupuleuse, niaise et sournoise, avec un sourire exagérant sans conviction d'une crédibilité de notables affectifs entraînés près d'une issue leurrée par un personnage odieux immergeant la mystification des actes inconstants et désillusionnés mensongères. Serais-tu donc devenu ce genre de personne désormais?
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#Posté le jeudi 29 juillet 2010 03:23

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:17

Into the wild


WOOT WOOT - STOP!
愛は、ゲームですか?
I can not see the utility to hide my game to you. I've already confessed all, it was with all honesty and in good faith. To you now, to believe or to renounce it. "私はとにかく、あなたにバインドされて感じています"。_ ウィリアム
 
 
 
Into the wild


RAAAW!
     
'Toisant l'extérieur, près d'un vintage ; la raison égarée dans une hallucination humide : d'une perspective verdâtre, enchantée aux sanglots d'un déluge brutal – la frimousse à découvert, envisageant l'après ouragan ; fixement ébahi par les guinches de chênes à semi-amochés – grâce à la naïveté ensevelit d'une fanfare nuageuse en plainte ; fascinée par le rythme tambourins et sauvageonnes de gouttes frappant sans fortune : les lamentables m½urs des innocents. Dans le crépuscule obscur que se compose avec ivresse, une cantilène déjantée d'une finale désemparée. Somnolent à couvert, sinistré entre quatre parois solidaires enjouvés d'humble réminiscence, que je suis ici : ne sachant griffonner sur un simplet, avec toute simplicité, les quelques détails de cette lubrique lueur saisonnière qui s'abat ainsi juste face à moi...  

 Texte écrit lors du cyclone Vania en Nouvelle-Calédonie en 2011 et au cyclone Freda en 2013.
 
 


Nature is so beautiful. Why destroy when we can save? It just enough to move a little more and help them survive our damage!
 


 

 
Tags : Vania, Freda, Into the wild
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#Posté le samedi 25 septembre 2010 20:35

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:17

Ton seul but est de me faire sourire.

DON'T WOMAN NO CRY
 
Ton seul but est de me faire sourire.
 
Je n'arrive toujours pas à me dire que je ne te reverrais; que tu n'es plus là.
 
 
Plus les jours passent et plus je vois les années arriver. Je ne m'en suis pas rendu compte jusqu'à ce que je décide de coller un portrait de toi, mon petit Papa, juste au dessus de mon plan de travail. Juste au moment où je m'apprêtais à me concentrer dans le boulot, mes yeux se sont levés et je me suis mise à regarder ce bout de papier. Cette photo qui me rappelle que tu as existé. Ce moment dans le passé où j'étais encore qu'un bébé et toi, dans la sérénité. Avant que tout soit brisés, avant que nous cassions ce qui aurait pu être de bons souvenirs..  Je ne peux qu'écrire ces mots pour le moment, faute de ne trouver personne à qui me confier réellement. Faute de trouver quelqu'un qui saura trouver les mots juste pour apaiser quelques secondes ma peine. Je sais que garder le silence n'est pas la solution idéale face à ce drame, mais entendre à tout bout de chant : "avec le temps, ça cessera", "ce n'est pas de ta faute", etc ; accompagné d'un énorme câlin ; ne me suffit plus et je m'engouffre un peu plus (...) Et puis je m'écroule. Face à cette dure réalité que je juge comme un mauvais rêve éternel, je ne sais comment m'y prendre. Dans un sens, je sais que je ne te reverrais plus jamais; et dans un autre sens j'ai cet espoir d'apprendre qu'en fin de compte tu n'es jamais parti aussi loin. Cela semble si frustrant. Toujours les mêmes peurs, les mêmes angoisses, les souvenirs qui me rongent; comme ci tout ne voulaient pas s'en aller en gardant juste le meilleur. Souvent, peut-être même trop souvent; en me réveillant tout me "saute à la gueule". C'est alors que je me perds, une fois de plus contre mes maux du c½ur. En attendant que ça s'adoucit et que ça revient, doucement ou bien violemment (...) Et puis, il y a Manon; qui contre tous, suit petit à petit ton chemin (...) Ne plus savoir quoi faire - survivre à cette tristesse.
Tags : Don't woman no cry, Ton absence me tue.Ton fantôme me hante.✝
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#Posté le mercredi 10 avril 2013 04:20

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:17

Le soleil fait son apparition

Tags : Un nouveau départ !
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#Posté le vendredi 22 mars 2013 00:44

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:18

Dans mon jardin secret se montre, un individu horriblement ivre avec une bouteille à la main, allongé sur un matelas, criant le prénom de ses filles. Et dans les quelques photos de mon enfance, un individu heureux appréciant les moments passés avec ses enfants.

 J'écris sans cesse comment à l'intérieur de moi je me sens, les dégâts d'une autodestruction massive.
 (M'en fiche, que ça plait pas à tout le monde)
 
Dans mon jardin secret se montre, un individu horriblement ivre avec une bouteille à la main, allongé sur un matelas, criant le prénom de ses filles. Et dans les quelques photos de mon enfance, un individu heureux appréciant les moments passés avec ses enfants.
 Je ne donnerai jamais mon âme au diable - car tout les soirs vient mon marchand de sable. Je suis peut-être bien triste, comme l'odeur d'un parfum de bas étage; par la faute d'idéaliser ton absence qui me range à tout allure. Je le sais, je l'ai réalisé depuis un chapitre, que ça me fait mal; très mal. Horriblement à certaines peines. Mais que veux-tu? J'ai beau crier ce mal être: mon chagrin. A rester chez moi, n'osant sortir que par obligation. Lorsque l'on s'approche de moi, je me sens de plus en plus inquiète, de moins en moins tranquille. Tu me manges de l'intérieur, t'es un genre d'hamster psychopathe qui s'amuse à jouer à la roue dans ma tête. Je ne veux pas mourir, mais j'attends la fin du monde entier, en me demandant combien de temps ça prendra. Combien de temps je guérirais. 
Tu es si loin. Que même tendre ton oreille pour m'écoute serait inutile. Tu ne vois plus grand chose. Pour me protéger des stupidités, je m'enfonce dans ce cercle vicieux et perturbant d'un silence sourd et muet. Et pourtant, il m'arrive d'en parler - parler de toi. Mais on ne me comprend pas. Alors, je m'isole. Je rêve de chevauchée du vent, dans ce jardin étrange près d'une jetée sans soleil, là où les rêves disparaissent sans réveil. Logeant, dans ce château l'autre ment où j'attendrai les bornes du ciel:
vêtue de toi, des souvenirs que tu as subitement abandonnés. Mais ne crains rien; au fond, depuis longtemps je suis passé par dessus les rochers et autres obstacles. Je ne t'en veux plus - or parfois, comprends-moi, je ne peux repenser à ce foutu désordre que tu as construit pour moi. Je n'effacerai rien. Ou que j'aille maintenant, sans que tu me retenir par la main: tu ne me rejoindras pas, car tu as continué sans moi. Eh bien oui, les flots de mon destin, perdront le mal d'un être inconscient. J'essaierai de rester tout de même en vie, dans ta mémoire, j'apprendrais à sourire et à grandir. Au fond, je sais que je n'y arriverai pas, que tout ceci ne suffira pas - mais que pourrais-je faire?  Je veux brillai tout comme elle, à cracher la gloire d'une terre. J'irais me pencher sur ce bonheur qui commence où finit ma joie - près d'un moment éphémère auparavant extraordinaire où mon c½ur commencer à aimer, là où il s'est déchiré.
 L'envie de te revoir est immense, je veux que tu me donnes l'autrefois, que tu m'attendes et que tu m'offres ton serment.. Mais, je ne peux pas, je ne dois pas, je ne peux plus. J'abandonne mon combat, tu ne me laisses dans ce doute et le temps ne compte pas. J'ignore ce que tu penses - je ne peux retourner en arrière, à toi de venir me chercher, de répondre à l'incorrecte, mon cher Papa.
 
 Texte retrouvé dans un  de mes vieux cahier.
M ES  D E S S I N S
(fait à l'arrache)
Tags : Dessins, Papa
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#Posté le lundi 11 mars 2013 03:13

Modifié le mercredi 12 avril 2017 04:18

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